Conformité AML : guide complet pour les acteurs crypto

When working with conformité AML, ensemble de procédures et de contrôles destinés à prévenir le blanchiment d'argent et le financement du terrorisme dans le secteur des crypto‑actifs. Also known as Anti‑Money‑Laundering compliance, it s’impose aux échanges, aux portefeuilles et aux services DeFi pour garantir la traçabilité des fonds. Cette règle s’appuie sur des concepts clés comme le KYC, procédure d’identification du client via documents officiels et vérification en ligne et la surveillance des transactions, analyse automatisée des flux pour détecter des modèles suspects. En plus, la réglementation crypto, ensemble de lois nationales et internationales qui encadrent les actifs numériques influence directement la façon dont les programmes AML sont conçus.

Les piliers de la conformité AML en crypto

Le premier pilier, le KYC, repose sur trois attributs : collecte de pièces d’identité, vérification biométrique et stockage sécurisé des données. Ces étapes permettent de créer un profil client fiable ; la plupart des échanges utilisent aujourd’hui des services d’authentification instantanée. Le deuxième pilier, le monitoring, implique le suivi en temps réel des mouvements de fonds. Les outils d’analyse appliquent des modèles de risque basés sur le volume, la fréquence et les contre‑parties. Enfin, le respect des sanctions internationales contraint les plateformes à bloquer les adresses liées à des listes noires (OFAC, UE, etc.). Ces trois composantes forment une chaîne où chaque maillon dépend du précédent : la conformité AML englobe le KYC, requiert la surveillance des transactions et s’aligne sur la réglementation crypto.

Dans la pratique, la mise en conformité varie selon le type d’opérateur. Un exchange centralisé devra obtenir une licence, mettre en place un registre des bénéficiaires effectifs et publier des rapports réguliers aux autorités. Une plateforme DeFi, quant à elle, s’appuie davantage sur des solutions de monitoring on‑chain et des audits de code pour prouver qu’elle ne facilite pas le blanchiment. Les portefeuilles multi‑signature, par exemple, offrent une couche de sécurité supplémentaire mais ne remplacent pas le KYC : ils limitent les accès, tandis que le KYC assure la traçabilité du propriétaire. Cette dualité montre comment la conformité AML interagit avec d’autres exigences comme la sécurité des actifs.

Les articles que vous allez découvrir plus bas couvrent toute la palette : de la réglementation du Vietnam aux obligations fiscales suisses, en passant par les analyses d’échanges comme NovaEx ou Top.one qui évaluent leurs programmes AML. Vous trouverez aussi des guides pratiques sur la mise en place du KYC, la détection de schémas de blanchiment via le monitoring on‑chain, et des études de cas sur les sanctions appliquées à des projets crypto. Cette collection vous donne les repères nécessaires pour rester conforme, quel que soit votre rôle dans l’écosystème. Passez à la suite pour explorer chaque sujet en détail.