Comprendre les lois et régulations sur les cryptomonnaies dans votre juridiction en 2025
nov., 10 2025
Si vous possédez des cryptomonnaies, vous ne pouvez pas ignorer la loi. Ce n’est pas une question de choix. C’est une question de conformité. Dans certains pays, détenir du Bitcoin peut vous exposer à des amendes. Dans d’autres, vous devez déclarer chaque transaction comme un revenu. Et dans certains, c’est tout simplement interdit. En 2025, plus de 78 % des pays ont mis en place des règles spécifiques pour les actifs numériques - une hausse de 26 points depuis 2022. Ce n’est plus un terrain vague. C’est un champ miné.
Les trois types de régulations que vous rencontrez partout dans le monde
Il n’y a pas une seule façon de réguler les cryptomonnaies. Il y en a trois, et votre pays en a choisi une. La première, c’est l’interdiction totale. La Chine en est l’exemple le plus connu : depuis 2021, tout échange, minage ou trading de crypto est illégal sur son sol. Les violations peuvent entraîner des amendes ou même des peines de prison. L’Algérie, la Bolivie et le Bangladesh ont suivi la même voie. Là-bas, posséder du Bitcoin n’est pas une erreur - c’est un délit.
La deuxième catégorie, c’est la régulation stricte mais autorisée. L’Inde en est le meilleur exemple. Vous pouvez acheter, vendre et échanger des cryptos, mais vous payez 30 % d’impôt sur vos gains - sans possibilité de déduire vos pertes. En plus, chaque transaction génère une retenue à la source de 1 %. Résultat : un gain de 20 % se transforme en perte nette de 35,4 % après impôts. Ce n’est pas une taxe. C’est un frein.
La troisième catégorie, c’est l’approche favorable. Ici, les gouvernements comprennent que la technologie blockchain ne va pas disparaître. Ils veulent en tirer profit. La Suisse, Singapour, les Émirats arabes unis et le Canada en sont les leaders. En Suisse, la FINMA a mis en place des règles claires depuis 2018. En 2025, les émetteurs de stablecoins doivent tenir des réserves 1:1 en devises liquides et faire des audits mensuels. Au Canada, les plateformes doivent respecter des normes de garde strictes depuis 2022. Et en 2025, les directives sur les stablecoins ont été mises à jour pour exiger plus de transparence.
Les règles que vous ne pouvez pas ignorer, peu importe où vous vivez
Quel que soit votre pays, quatre règles s’appliquent presque partout. La première, c’est l’AML/CFT : vous devez vérifier l’identité des personnes avec qui vous échangez des cryptos. Les plateformes doivent connaître leur client. Si vous utilisez un échange non réglementé, vous risquez d’être impliqué dans un blanchiment d’argent - même sans le savoir.
La deuxième, c’est la déclaration fiscale. Dans la plupart des pays, vendre du Bitcoin pour acheter une voiture ou payer un loyer est considéré comme une vente taxable. En Allemagne, si vous détenez vos cryptos plus d’un an, vous ne payez rien. Au Portugal, vous payez 28 % sur vos gains. Aux États-Unis, chaque vente, échange ou utilisation est un événement taxable. Et si vous avez des cryptos sur un échange étranger, vous devez les déclarer à l’IRS - même si vous n’avez pas retiré les fonds.
La troisième règle, c’est le Travel Rule. Depuis février 2025, la Task Force d’action financière (FATF) exige que les plateformes transmettent les informations du destinataire pour toute transaction supérieure à 3 000 $ US. Cela signifie que si vous envoyez 4 000 $ en Ethereum à un ami, l’échange doit enregistrer son nom, son adresse et son numéro de téléphone. Si vous utilisez un portefeuille non-custodial comme MetaMask, vous êtes hors du radar - mais vous ne pouvez plus utiliser les grandes plateformes pour ce genre d’envoi.
La quatrième règle, c’est la distinction entre actifs et securities. Aux États-Unis, la SEC considère que 95 % des tokens sont des titres. Cela veut dire qu’ils doivent être enregistrés, comme des actions. Si vous lancez un projet et que vous vendez des tokens sans autorisation, vous êtes poursuivi. En 2025, la SEC a intenté 87 actions en justice contre des projets non enregistrés. Ce n’est pas une menace. C’est une pratique courante.
Comment savoir quelle loi vous concerne ?
Vous ne pouvez pas vous fier à un article sur Internet. Vous devez vérifier votre propre juridiction. Voici comment procéder en cinq étapes.
- Identifiez votre pays de résidence fiscale. Ce n’est pas toujours où vous habitez physiquement. C’est où vous êtes reconnu comme résident pour les impôts.
- Consultez le site officiel de votre autorité financière. Au Canada, c’est l’AMF ou la CSA. En France, c’est l’AMF. En Australie, c’est l’ASIC. Si vous ne trouvez pas de site en français ou en anglais, cherchez « régulation cryptomonnaies » + votre pays.
- Regardez si votre pays a signé les normes FATF. Si oui, le Travel Rule s’applique. Si non, les règles peuvent être floues ou absentes.
- Vérifiez si votre pays a une loi spécifique sur les stablecoins. L’Union européenne (MiCA), les États-Unis (GENIUS Act) et le Canada ont des règles précises. Si votre pays n’en a pas, les stablecoins sont traités comme des cryptos normales - ce qui peut être plus risqué.
- Consultez un comptable ou un avocat spécialisé. Les lois changent trop vite pour être comprises sans aide. Un bon conseiller sait si votre activité est une affaire de revenus, de capital, ou de commerce.
Les pièges que tout le monde tombe
La plupart des gens pensent que si leur pays ne dit rien, c’est qu’ils peuvent faire ce qu’ils veulent. C’est faux. En l’absence de loi, les autorités appliquent les règles existantes sur les devises, les titres ou la fraude. Si vous faites du trading intensif, vous êtes traité comme un commerçant. Si vous lancez un projet avec des tokens, vous êtes traité comme un émetteur de titres.
Un autre piège : les échanges offshore. Beaucoup pensent qu’en utilisant un échange basé à Chypre ou à l’île de Man, ils échappent à leur pays. Ce n’est pas vrai. Votre pays vous oblige à déclarer vos actifs, peu importe où ils sont stockés. En 2024, le Canada a exigé que les résidents déclarent tous les comptes externes dépassant 100 000 $ CAD. Le même système existe en France, en Allemagne et en Australie.
Et puis il y a les portefeuilles non-custodiaux. Vous pensez que si vous gardez vos cryptos dans un portefeuille comme Ledger ou Trezor, vous êtes invisible. Mais si vous les échangez contre des biens ou des services, vous créez un événement taxable. Et si vous envoyez des fonds à quelqu’un dans un pays sous sanctions, vous enfreignez la loi internationale - même sans le savoir.
Que faire si vous êtes déjà en situation de non-conformité ?
Si vous avez acheté, vendu ou échangé des cryptos sans déclarer, ne paniquez pas. Mais ne tardez pas non plus. La plupart des pays offrent des programmes de régularisation volontaire. En France, vous pouvez déclarer vos gains passés avec une réduction de pénalité. Aux États-Unis, l’IRS a un programme de déclaration volontaire pour les cryptos. Au Canada, l’ARC accepte les déclarations tardives avec des intérêts, mais sans amendes si vous agissez rapidement.
La clé, c’est d’agir avant qu’un audit ne vous tombe dessus. Les autorités ont accès aux données des échanges. Elles peuvent croiser vos transactions avec vos déclarations fiscales. Si vous avez fait 50 transactions en 2024 et que vous n’avez rien déclaré, vous êtes repéré.
Ne tentez pas de dissimuler. Les logiciels de traçage comme Chainalysis permettent de suivre chaque bitcoin depuis son origine. Une fois que vous êtes dans leur système, vous êtes marqué. Et les amendes peuvent atteindre 100 % du montant non déclaré, plus des pénalités.
Les juridictions les plus sûres pour les utilisateurs en 2025
Si vous avez le choix, certaines régions sont bien plus claires. Les Émirats arabes unis (UAE) sont devenus un havre : pas d’impôt sur les gains, des licences claires pour les plateformes, et une autorité dédiée (VARA). La Suisse reste la référence : son « Crypto Valley » à Zug attire les startups du monde entier grâce à des règles stables depuis plus de cinq ans. Singapour a mis en place un cadre juridique précis, avec des mises à jour trimestrielles. Et au Canada, les lois sont cohérentes entre les provinces, avec des normes de garde clairement définies.
En revanche, évitez les pays avec des lois floues ou en cours de révision. L’Inde, la Russie ou le Brésil changent de politique chaque année. Ce n’est pas un environnement sûr pour un investissement à long terme.
Les coûts cachés de la conformité
Comprendre la loi, c’est une chose. La respecter, c’est autre chose. En 2025, les entreprises de crypto dépensent en moyenne 14,7 milliards de dollars mondiaux pour se conformer aux lois. Aux États-Unis, une seule entreprise comme Coinbase paie 120 millions de dollars par an pour gérer les 50 lois des États. Pour un particulier, les coûts sont moins visibles, mais réels.
Vous devez tenir un registre de toutes vos transactions : date, montant, devise, type (achat, vente, échange, don). Vous devez conserver ces données pendant 7 ans. Vous devez savoir si chaque token que vous possédez est un actif, un jeton de sécurité, ou un jeton utilitaire. Vous devez comprendre les règles de la plus-value, de l’imposition des intérêts sur le staking, et des récompenses de mining.
Si vous faites du trading actif, vous devriez envisager un logiciel de comptabilité crypto comme Koinly, CoinTracker ou CryptoTaxCalculator. Ils connectent vos portefeuilles et échanges, génèrent les rapports fiscaux, et vous aident à éviter les erreurs. Le coût ? Environ 100 $ par an. C’est moins que ce que vous risquez de perdre en amendes.
Que réserve l’avenir ?
En 2026, 92 % de la population mondiale vivra dans un pays avec des lois sur les cryptos. Les régulations vont s’affiner. L’Union européenne prépare MiCA II, qui ciblera les DeFi et les NFT. Les États-Unis travaillent sur un système fédéral pour les stablecoins. La Chine continue de bloquer les échanges, mais ses citoyens font toujours du P2P - avec un volume estimé à 15 à 20 milliards de dollars par an.
Le message est clair : les régulations ne vont pas disparaître. Elles vont s’imposer. Ceux qui comprennent les règles de leur pays peuvent investir en toute sécurité. Ceux qui les ignorent risquent tout - leur argent, leur liberté, et leur réputation.
Ne laissez pas la technologie vous entraîner dans un piège légal. Prenez le temps de comprendre. Consultez. Déclarez. Restez en règle. Vos cryptomonnaies ne sont pas une zone grise. Elles sont un actif. Et comme tout actif, elles sont régies par la loi.
Est-ce que je dois déclarer mes cryptomonnaies même si je ne les ai pas vendues ?
Oui, dans la plupart des pays. Même si vous n’avez pas vendu vos cryptos, vous devez les déclarer si vous les avez reçus en échange de biens, services, ou récompenses (comme le staking). En France, au Canada, et aux États-Unis, la simple détention sur un échange étranger peut exiger une déclaration. En revanche, si vous avez acheté des cryptos et que vous les gardez sans les utiliser, vous n’avez pas encore créé un événement taxable. Mais vous devez conserver les preuves d’achat pour calculer votre plus-value plus tard.
Qu’est-ce qui se passe si je ne déclare pas mes gains en cryptomonnaies ?
Les conséquences varient selon le pays. En France, vous risquez une amende de 10 % à 80 % du montant non déclaré, plus des intérêts de retard. Aux États-Unis, la pénalité peut atteindre 75 % du montant omis, avec des poursuites pénales en cas de fraude. Au Canada, l’ARC peut réclamer jusqu’à 100 % des gains non déclarés, plus des frais administratifs. Dans les pays comme l’Inde ou la Chine, les sanctions peuvent inclure des arrestations. Les autorités ont accès aux données des échanges et peuvent tracer vos transactions. Ne pensez pas que vous êtes invisible.
Les NFT sont-ils régulés comme les cryptomonnaies ?
Cela dépend du type de NFT. Si c’est une œuvre d’art numérique, il est souvent traité comme un bien personnel. Mais si le NFT donne un droit de propriété, un revenu futur, ou un accès à un service (comme un jeton de gouvernance), il peut être classé comme un titre. En 2025, l’Union européenne (MiCA II) et la SEC aux États-Unis commencent à cibler les NFT de ce type. Si vous vendez un NFT pour un profit, vous devez le déclarer comme une plus-value. Si vous en recevez un comme récompense, il est imposable à sa valeur au moment de la réception.
Puis-je utiliser un portefeuille non-custodial pour éviter les règles ?
Non. Un portefeuille comme MetaMask ou Ledger ne vous protège pas de la loi fiscale ou de la conformité. La loi s’applique à vos actions, pas à l’endroit où vos fonds sont stockés. Si vous échangez vos cryptos contre des biens ou des services, vous créez une transaction taxable. Si vous envoyez des fonds à une personne dans un pays sous sanctions, vous enfreignez la loi internationale. Les autorités ne se préoccupent pas de savoir si vous utilisez un échange ou un portefeuille privé. Elles se concentrent sur les transactions réelles. Et elles peuvent les tracer.
Quels pays sont les plus sûrs pour les investisseurs en cryptomonnaies en 2025 ?
Les Émirats arabes unis, la Suisse, Singapour et le Canada sont les plus sûrs. Ces pays ont des lois claires, des autorités spécialisées, et des processus de licence transparents. Ils ne taxent pas les gains à long terme (UAE), ou ils les traitent comme des investissements (Suisse). Ils reconnaissent les stablecoins et imposent des normes de transparence. En revanche, évitez les pays avec des lois changeantes ou des interdictions. Le risque n’en vaut pas la récompense.
maxime plomion
novembre 10, 2025 AT 23:05La régulation, c’est pas une option, c’est une nécessité. Si tu veux garder tes cryptos, tu dois jouer selon les règles. Point final.
Julien Malabry
novembre 12, 2025 AT 04:26Exactement. Un bon logiciel comme Koinly, c’est 100 $ par an pour éviter des milliers d’euros d’amendes. C’est un investissement, pas un coût.
Monique Wasserman
novembre 13, 2025 AT 20:35Il est regrettable que tant de personnes confondent liberté numérique et absence de responsabilité. La loi n’est pas un obstacle à l’innovation ; elle en est la condition sine qua non. Sans cadre juridique clair, le marché devient une jungle, et non un écosystème.
Les Émirats arabes unis et la Suisse ne sont pas des havres par hasard - ils ont mis en place des régulations rigoureuses, transparentes, et anticipatives. Ce n’est pas un hasard si les fonds institutionnels y affluent.
En France, l’AMF a fait un travail remarquable, mais il reste des lacunes dans la compréhension publique. Beaucoup pensent que « si je ne vends pas, je ne déclare pas ». C’est une erreur fondamentale. La réception de récompenses en staking, les airdrops, les échanges contre des biens : tout cela crée un événement fiscal.
Le Travel Rule n’est pas une intrusion, c’est une protection. Il empêche les réseaux criminels d’utiliser la blockchain comme un canal anonyme. Ceux qui le dénoncent comme une atteinte à la vie privée ignorent que la vie privée ne signifie pas l’impunité.
La SEC n’est pas un ennemi. Elle est l’incarnation de la responsabilité. 87 poursuites en 2025 ? C’est la preuve qu’elle agit. Ce n’est pas de la persécution, c’est de la régulation.
Les portefeuilles non-custodiaux ne sont pas des zones franches. Ils sont des outils. Et comme tout outil, leur usage détermine leur légalité. Si vous utilisez MetaMask pour acheter une maison, vous avez créé un gain taxable. Point.
La conformité n’est pas une contrainte. C’est la clé de la pérennité. Ceux qui la rejettent ne sont pas des révolutionnaires - ils sont des amateurs qui risquent tout pour un faux sentiment d’indépendance.
La technologie ne se passe pas de loi. Elle en a besoin. Plus que jamais.
Dominique Lelièvre
novembre 15, 2025 AT 12:36Je trouve profondément troublant que tant de gens voient la loi comme une menace… alors qu’elle est, au fond, une forme de protection collective. La cryptomonnaie, c’est comme la route : sans feux rouges, sans limites de vitesse, sans contrôles, tout le monde finit par se heurter.
La Suisse n’est pas « plus libre » que la France - elle est simplement plus sage. Elle a compris que la liberté, sans responsabilité, devient chaos.
Et cette idée que « si mon pays ne dit rien, c’est qu’on peut faire ce qu’on veut »… c’est le même raisonnement que ceux qui pensaient qu’on pouvait vendre des armes à des dictateurs parce que « personne ne l’a interdit ».
La loi, c’est la mémoire de la société. Elle se construit sur les erreurs du passé. Ne pas la respecter, ce n’est pas être libre. C’est être inconscient.
Je ne dis pas qu’elle est parfaite. Mais la rejeter, c’est rejeter la civilisation elle-même.
Vianney Ramos Maldonado
novembre 16, 2025 AT 05:25On nous dit que les États-Unis sont stricts… mais qui contrôle vraiment les données des échanges ? La NSA ? La CIA ? Et si tout cela n’était qu’un piège pour centraliser encore plus le contrôle sur nos actifs ?
Les « lois » ne sont que des prétextes. Derrière chaque règle, il y a un lobby bancaire qui veut garder son monopole. Les cryptos, c’est la fin du système. Et ils le savent. C’est pour ça qu’ils créent des lois… pour les tuer doucement.
Le Travel Rule ? C’est un tracker. La SEC ? Un outil de répression. Les 14,7 milliards de dollars dépensés pour la conformité ? C’est de l’argent qui va aux avocats et aux consultants… pas aux développeurs.
Vous pensez que la Chine interdit les cryptos pour protéger ses citoyens ? Non. Elle les interdit pour contrôler ses citoyens.
Ne vous laissez pas manipuler. La loi, c’est le masque du pouvoir.
Babette Silber
novembre 16, 2025 AT 09:09OH MON DIEU J’AI EU UNE PANIQUE EN LISANT CET ARTICLE 😭
Je pensais que garder mes ETH sur MetaMask, c’était comme avoir un trésor caché… et là je découvre que je dois déclarer chaque transaction comme si j’étais un trader professionnel ?!
Je vais devenir folle. J’ai fait 30 échanges en 2024. Je vais devoir passer 3 semaines à tout trier. J’ai déjà un travail à plein temps. Pourquoi la vie doit être si cruelle ?
Et maintenant je dois payer un logiciel de 100 $ ?! J’ai déjà payé pour mes NFT, mes frais de gas, mon Ledger… je suis à sec !
Je veux juste vivre en paix avec mes cryptos 😭💸
Anne Georgiev Longuet
novembre 16, 2025 AT 15:54Je suis une mère de 3 enfants et je n’ai jamais eu le temps de comprendre tout ça. Mais je veux faire les choses bien. Merci pour ce guide clair. Je vais consulter un expert. Pas parce que j’ai peur… mais parce que je veux protéger ce que j’ai gagné pour mes enfants.
On ne peut pas laisser la technologie nous écraser. On doit la maîtriser. Même si c’est dur.
Frederic von
novembre 16, 2025 AT 15:58Je pense que beaucoup de gens ont peur de la loi parce qu’ils ne la comprennent pas. Mais la loi n’est pas un ennemi. Elle est un outil. Et comme tout outil, il faut apprendre à l’utiliser.
Je suis allé voir un comptable spécialisé l’année dernière. Il m’a dit : « Tu n’as pas besoin de tout comprendre. Tu as juste besoin de savoir où trouver les bonnes réponses. »
Depuis, j’utilise un logiciel, je garde mes preuves, et je dors mieux. C’est pas compliqué. C’est juste un peu de discipline.
La crypto, c’est un nouveau monde. Mais les règles de la société, elles, restent les mêmes. Respecter la loi, ce n’est pas être un lâche. C’est être intelligent.
Tainá Viviane
novembre 16, 2025 AT 17:05Il est regrettable de constater que l’article, bien que factuellement correct, omet de mentionner que la notion de « résidence fiscale » est souvent mal interprétée. La simple présence physique ne détermine pas la résidence fiscale. C’est l’« habitude de vie », les liens familiaux, professionnels et économiques qui comptent. Une erreur fréquente chez les expatriés.
De plus, la référence à l’IRS est trompeuse : la déclaration des comptes étrangers (FBAR) ne concerne que les comptes dépassant 10 000 $, et non les cryptos eux-mêmes. La déclaration fiscale (Form 8949) est séparée. Ce mélange confond les lecteurs.
La précision linguistique n’est pas un luxe - c’est une exigence éthique dans un domaine où des millions sont en jeu.
Adrien GAVILA
novembre 17, 2025 AT 06:0578 % des pays ont des lois ? Et alors ? C’est pas une preuve que c’est bien. C’est une preuve que les États veulent contrôler. Tu crois que la Chine interdit pour protéger ? Non. Pour contrôler. L’Inde taxe à 30 % pour étouffer. La Suisse ? Elle fait du marketing pour attirer les riches. Le Canada ? Il veut des données. Personne ne fait ça pour toi. Personne.
Et ce truc du Travel Rule ? C’est la fin de la vie privée. Tu envoies 4000 $ à ton cousin ? Ils veulent son nom, son adresse, son téléphone. C’est pas de la régulation. C’est de la surveillance.
Les gens qui disent « c’est juste une loi » n’ont jamais été persécutés. Moi, j’ai vu ce que ça fait. La loi, c’est la première étape vers la prison.
Philippe AURIENTIS
novembre 19, 2025 AT 05:59Je viens de déclarer mes cryptos pour la première fois. J’ai tout mis dans Koinly. 20 minutes. J’ai reçu mon rapport. J’ai envoyé à mon comptable. Il a dit « bien fait ».
Je ne suis pas un expert. Je suis juste quelqu’un qui veut éviter les ennuis. Et je peux vous dire : ça vaut le coup. Moins de stress. Plus de paix.
La loi, c’est pas un ennemi. C’est juste un système. Et si tu veux jouer, tu dois apprendre les règles. Point.
Djamila Mati
novembre 19, 2025 AT 19:56Je viens du Mali, j’ai vécu en France 15 ans. J’ai vu comment les lois sont utilisées pour exclure. Les cryptos, c’était ma chance de sortir du système. Mais maintenant, on veut me faire signer des papiers, me traquer, me taxer… comme si j’étais un criminel.
Je ne suis pas un criminel. Je suis une femme qui a travaillé dur pour acheter ses premiers BTC. Et maintenant, on me dit que je dois payer pour ça ?
La loi n’est pas juste. Elle est un outil de pouvoir. Et ceux qui en ont, l’utilisent pour garder leur pouvoir.
James Angove
novembre 21, 2025 AT 19:44ALORS OUI ! C’EST PAS FACILE MAIS C’EST POSSIBLE ! 💪
Je me suis mis à tenir un tableau Excel pendant 6 mois. Maintenant j’utilise CryptoTaxCalculator. Je suis en règle. Je dors mieux. Je suis fier.
Vous pouvez le faire aussi. Pas besoin d’être un expert. Juste d’être régulier. Un peu chaque semaine. C’est comme aller à la salle. Ça devient une habitude.
La crypto, c’est une aventure. Et les aventuriers, ils préparent leurs cartes. Vous avez votre carte. Allez-y ! 🚀
Paris Stahre
novembre 23, 2025 AT 04:12Les lois sont des illusions. Les autorités ne peuvent pas contrôler la blockchain. Elles peuvent seulement contrôler les gens qui y entrent. Ceux qui se plient, sont des esclaves. Ceux qui résistent… sont les vrais pionniers.
Le Travel Rule ? Une absurdité. Le portefeuille non-custodial est la seule liberté qui reste. Tout le reste est un mensonge.
Vous croyez que les Émirats sont « sûrs » ? Ils surveillent tout. Ils vous laissent garder vos gains… pour mieux vous surveiller.
La vraie liberté n’est pas dans les lois. Elle est dans l’ignorance des lois.
Mehdi Alba
novembre 24, 2025 AT 15:13Vous croyez que c’est pour vous protéger ?
Non. C’est pour vous contrôler.
La SEC ? Elle veut que vous ne puissiez pas lancer votre propre token. La FATF ? Elle veut que vous ne puissiez pas envoyer de l’argent à qui vous voulez. La Chine ? Elle veut que vous ne puissiez pas avoir de cryptos.
Tout ça, c’est pour vous garder dans le système. Le système qui vous fait travailler pour des salaires de misère, pendant que les riches se enrichissent avec la banque centrale.
Les cryptos, c’était la révolution. Et maintenant, ils veulent la tuer avec des lois.
Ne vous laissez pas avoir. La liberté, elle est dans les portefeuilles non-custodiaux. Le reste… c’est du marketing.
Lizzie Perrin
novembre 25, 2025 AT 21:53jai lu cet article en 5 min et jai pleuré. pas par peur. par tristesse. on a cru que la crypto allait libérer. et maintenant on doit remplir des formulaires comme si on etait un banquier. cest triste. jai acheté du btc en 2017 pour etre libre. et maintenant je dois payer un logiciel pour ne pas etre puni. cest pas la revolution que jattendais.
Collin T.
novembre 26, 2025 AT 18:2078 % des pays ont des lois ? Et tu crois que c’est une bonne chose ? Tu sais combien de pays ont interdit le cannabis ? 70. Et maintenant ? Ils lèvent l’interdiction parce que tout le monde le fait. C’est pareil pour les cryptos. La loi ne suit pas la technologie. Elle la combat. Et elle va perdre.
Les gens vont continuer à échanger. Les portefeuilles non-custodiaux vont grossir. Les échanges vont disparaître. Les gouvernements vont se retrouver avec des lois qui ne servent à rien.
La vraie question : pourquoi est-ce que tu crois que les lois vont gagner ?
Arnaud Gawinowski
novembre 28, 2025 AT 18:10Je ne déclare rien. Je ne veux pas jouer à leur jeu. J’ai des cryptos dans un Ledger. Je ne les utilise pas pour acheter. Je les garde. Et si un jour ils viennent me chercher ? Je leur dirai : « Allez vous faire voir. »
La loi ne m’impose rien. Je suis libre. Et je le resterai.
Andre Swanepoel
novembre 29, 2025 AT 05:25Je suis ingénieur. J’ai créé un petit projet de token. J’ai lu l’article. J’ai appelé un avocat. Il m’a dit : « Tu es dans la zone grise. Mais tu peux la rendre claire. »
Je vais déposer un dossier. Je vais faire une offre publique réglementée. Ce n’est pas facile. Mais c’est possible.
La loi n’est pas un mur. C’est un chemin. Et si tu marches bien, tu arrives à l’autre côté.
Je ne veux pas être un hors-la-loi. Je veux être un créateur. Et pour ça, j’ai besoin de respecter les règles.
James Kaigai
novembre 30, 2025 AT 12:42franchement j’ai lu l’article en 10 min et j’ai juste envie de dire : ok on va faire ça comme ça
je vais mettre mon logiciel, je vais garder mes preuves, je vais déclarer
je vais pas me casser la tête
la crypto c’est cool mais la vie aussi
et je vais pas laisser un truc qui m’a fait gagner de l’argent me rendre la vie infernale
merci pour le guide
Rene Gomez
novembre 30, 2025 AT 23:29Je suis un ancien trader de forex. J’ai vu les marchés se réguler. J’ai vu les gens se faire écraser. Et j’ai vu ceux qui ont suivi les règles survivre. Les cryptos, c’est la même chose. Les lois ne sont pas là pour te punir. Elles sont là pour te protéger… des autres. Des escrocs. Des fraudeurs. Des banques qui veulent tout contrôler.
Je n’ai jamais eu de compte sur un échange. J’ai toujours utilisé un portefeuille. Mais je garde TOUT. Date. Montant. Type. Adresse. Je fais un fichier Excel. Chaque semaine. 10 minutes. C’est pas un fardeau. C’est un habit. Comme se brosser les dents.
Si tu veux jouer dans la cour des grands, tu dois respecter les règles. Sinon, tu perds. Point.
Et si tu penses que la technologie va te protéger… tu es dans le déni. La blockchain est transparente. Les autorités peuvent tout voir. Ce n’est pas un mystère. C’est une réalité.
Je te dis ça parce que je veux que tu survives. Pas parce que je veux que tu aies peur. Parce que je veux que tu sois libre. Vraiment libre.
Thierry Mangin
décembre 1, 2025 AT 03:54Les lois sur les cryptos ? C’est un piège. Le gouvernement sait que les gens vont déclarer. Alors ils créent des règles impossibles à suivre. Pour que tu te fasses attraper. Pour que tu paies. Pour que tu perdes. Pour que tu renonces. Et quand tu renonces, ils prennent ton argent. C’est ça le plan. C’est pas une loi. C’est une arnaque.
Et tu sais qui gagne ? Les banques. Elles veulent que tu gardes ton argent chez elles. Pas sur la blockchain.
Ne déclare rien. Ne fais rien. Attends. Le système va s’effondrer. Et quand il tombe, les vrais libertaires vont survivre.
Benjamin Jackson
décembre 1, 2025 AT 06:13Je suis l’auteur du post. Merci à tous pour vos réponses. J’ai lu chaque mot. Ce n’est pas facile de parler de loi dans un monde qui veut croire à la liberté absolue. Mais la liberté sans responsabilité, c’est un mirage. Ce que je veux, c’est que vous puissiez profiter des cryptos… sans perdre tout ce que vous avez construit. La loi, ce n’est pas votre ennemi. C’est votre bouée de sauvetage. Allez-y. Consultez. Déclarez. Restez en règle. Vous méritez de vivre en paix.