Koweït et les cryptomonnaies : réglementation, opportunités et risques en 2025
Le Koweït, un pays du Golfe avec une économie fortement liée aux hydrocarbures et une régulation financière de plus en plus stricte n’a pas encore légalisé les cryptomonnaies comme moyen de paiement, mais il surveille de près les activités liées à la blockchain. Contrairement à la Thaïlande ou au Pakistan, où des cadres juridiques précis ont été mis en place, le Koweït, un pays du Golfe avec une économie fortement liée aux hydrocarbures et une régulation financière de plus en plus stricte reste dans une zone grise : pas d’interdiction formelle, mais pas non plus de reconnaissance officielle. Les échanges comme Golex, qui ciblent la région MENA, prétendent offrir des services ici, mais ils manquent souvent de transparence, d’audits ou même de présence locale vérifiable.
Si vous vivez au Koweït, un pays du Golfe avec une économie fortement liée aux hydrocarbures et une régulation financière de plus en plus stricte, vous devez comprendre que les autorités financières ne protègent pas les investisseurs en crypto. Aucun échange n’est autorisé officiellement, et les plateformes qui se disent accessibles ici — comme celles promues dans des airdrops douteux — sont souvent des arnaques. Des projets comme BitCone ou LESS Network n’existent pas, mais des sites falsifiés utilisent des noms similaires pour cibler les utilisateurs du Moyen-Orient. Le réglementation crypto MENA, un ensemble de lois et de pratiques qui varient fortement d’un pays à l’autre dans la région est encore en construction, mais au Koweït, le silence des autorités équivaut à une absence de protection. Si vous utilisez des services décentralisés comme 10K Swap ou DODO, vous le faites à vos risques et périls — sans recours en cas de perte.
Que faire si vous êtes au Koweït et que vous voulez investir ?
La première règle : ne faites jamais confiance à un airdrop ou à une plateforme qui ne vous demande pas d’identité. Au Koweït, même les projets qui semblent légitimes — comme ceux basés sur Starknet ou Polygon — peuvent être des pièges. Les escrocs savent que les gens cherchent des opportunités, et ils exploitent l’absence de cadre légal. Vérifiez toujours les contrats intelligents, les équipes, et surtout, les avis d’utilisateurs. Si vous ne trouvez aucune trace d’activité réelle, c’est une alerte rouge. Les lois sur les cryptomonnaies dans les pays voisins — comme la Thaïlande avec ses 2 millions de dollars de capital minimum — montrent que la régulation arrive. Le Koweït ne sera pas en reste. Ce qui est permis aujourd’hui peut devenir illégal demain, avec des amendes ou des poursuites à la clé.
Les articles que vous trouverez ici ne parlent pas de « comment gagner de l’argent » avec le Koweït. Ils parlent de ce qui est réel : les plateformes qui ne fonctionnent pas, les airdrops qui sont des arnaques, les régulations qui évoluent, et les risques que vous ne voyez pas venir. Vous allez découvrir pourquoi certains échanges décentralisés sont trop risqués pour être utilisés ici, pourquoi les projets comme EchoDex ou Golex manquent de crédibilité, et comment repérer une arnaque avant de perdre votre argent. Ce n’est pas un guide pour devenir riche. C’est un guide pour ne pas vous faire avoir.