La régulation crypto Thaïlande, le cadre légal qui encadre l'utilisation, l'échange et la taxation des cryptomonnaies en Thaïlande depuis 2022, renforcé en 2025. Also known as cadre des actifs virtuels, elle a transformé le pays en l'un des marchés les plus clairs d'Asie du Sud-Est. Avant 2025, beaucoup pensaient que la Thaïlande était un terrain vague pour les projets crypto. Ce n'est plus le cas. Désormais, tout échange, tout airdrop, tout projet tokenisé doit être enregistré auprès de la SEC Thaïlande, la Securities and Exchange Commission locale, qui supervise les actifs numériques comme des titres financiers. Si un projet n’a pas son approbation, il est considéré comme illégal — même s’il est hébergé sur un serveur à l’étranger.
La taxation crypto Thaïlande, le système fiscal qui impose les gains sur les cryptomonnaies comme des revenus capitaux. est devenue plus transparente. En 2025, chaque transaction de vente, d’échange ou de récompense (comme un airdrop) est soumise à l’impôt sur le revenu. Pas de déclaration = amende. Les échanges locaux comme Bitkub ou DigiFinex envoient automatiquement les données fiscales à l’administration. Même les particuliers qui achètent du Bitcoin sur un DEX doivent garder leurs traces — et les déclarer. Les airdrops, comme ceux que vous voyez sur des sites non vérifiés, ne sont pas gratuits si vous vivez en Thaïlande : ils sont comptabilisés à leur valeur au jour de réception.
Le minage n’est pas interdit, mais il est très régulé. Les grands fermes doivent obtenir une licence, prouver l’origine de leur électricité, et ne peuvent pas utiliser le réseau public pour du minage intensif. Les particuliers qui minent avec une simple carte graphique ne sont pas ciblés — tant qu’ils déclarent leurs gains. Mais si vous tentez de lancer un projet comme LARIX ou BitCone en Thaïlande, vous êtes directement visé. La SEC a déjà fermé plus de 30 sites frauduleux en 2024. Les projets qui promettent des millions de jetons sans contrat ni équipe publique ? Ils ne passent pas la vérification. Et vous, si vous participez à un airdrop non enregistré, vous prenez un risque légal — pas seulement financier.
En 2025, la Thaïlande ne veut plus être le pays où les arnaques prospèrent. Elle veut être le pays où les projets sérieux peuvent grandir. Ce que vous trouverez ici, c’est une collection d’articles qui vous montrent ce qui est légal, ce qui est dangereux, et ce que vous devez absolument vérifier avant de toucher à une crypto. Des airdrops piégés comme LESS Network ou DOGECOLA, aux plateformes qui respectent la loi comme StoryHunt ou DFX Finance — tout est passé au crible. Vous ne trouverez pas de flou ici. Juste des faits, des alertes, et les règles du jeu.
En 2025, la Thaïlande exige plus de 2 millions de dollars pour obtenir une licence d'échange de crypto. Découvrez les coûts, les étapes et les règles strictes que toute plateforme doit respecter pour opérer légalement.