Types d'ordres avancés pour le trading de cryptomonnaies

Calculateur d'ordres stop-loss et take-profit
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Points clés à retenir
- Les types d'ordres avancés automatisent la gestion du risque et la prise de profit dans un marché 24/7 très volatile.
- Stop‑limit, take‑profit, stop‑loss, trailing stop, OCO, post‑only et iceberg sont les plus répandus.
- Chaque type possède des critères d’exécution, des frais et des scénarios idéaux différents.
- Les principaux échanges (Binance, Crypto.com, Gemini) offrent des implémentations similaires mais avec des nuances de configuration.
- Maîtriser ces ordres permet de trader sans surveiller constamment les prix, tout en limitant le slippage.
Dans le monde du trading de cryptomonnaies activité d’achat et de vente d’actifs numériques sur des plateformes d’échange spécialisées, les ordres de base (marché et limite) ne suffisent plus quand la volatilité grimpe. Cet article décortique les types d'ordres avancés mécanismes d'exécution conditionnels qui vont au‑delà des simples ordres de marché ou limite disponibles aujourd’hui, montre comment les paramétrer et explique quand les choisir.1. Stop‑limit : le compromis entre rapidité et contrôle du prix
Un Stop‑limit ordre qui combine un prix de déclenchement (stop) et un prix limite pour l’exécution fonctionne en deux étapes. Dès que le cours atteint le prix stop, l’échange crée automatiquement un ordre limite avec le prix que vous avez spécifié. Exemple pratique : vous avez acheté du Bitcoin à 30000$, vous placez un stop‑limit avec un stop à 28000$ et une limite à 27800$. Si le prix casse 28000$, un ordre limite à 27800$ est envoyé, vous protégeant d’une chute brutale tout en évitant le slippage d’un simple stop‑market.
Avantages : protection du capital, réduction du slippage. Inconvénients : risque de non‑exécution si le cours ne rebondit pas avant d’atteindre la limite.
2. Take‑profit : verrouiller les gains automatiquement
Le Take‑profit ordre qui ferme automatiquement une position dès qu’un niveau de profit prédéfini est atteint s’utilise comme un ordre de marché déclenché à un prix cible. Vous avez acheté de l’Ethereum à 2000$ et vous placez un take‑profit à 2500$. Dès que le cours touche 2500$, l’ordre se transforme en ordre de marché et votre position se clôture, sécurisant le gain sans que vous ayez à surveiller le graphique.
Utilisation typique : stratégies de swing trading où l’on vise un objectif de prix précis.
3. Stop‑loss : limiter les pertes en cas de retournement
Le Stop‑loss ordre qui vend (ou achète) automatiquement lorsqu’un prix de perte prédéfini est franchi ressemble à un stop‑market, mais il peut être configuré en version limit (stop‑limit) pour plus de contrôle. Exemple : vous détenez 1BTC acheté à 5000$ et vous placez un stop‑loss à 4500$. Si le prix descend à ce niveau, l’ordre s’exécute rapidement, limitant la perte à environ 500$.
Bonne pratique : placer le stop‑loss légèrement en dessous d’un support technique pour éviter les déclenchements prématurés pendant les fluctuations normales.
4. Trailing‑stop : suivre la tendance tout en protégeant les profits
Le Trailing‑stop ordre dynamique dont le prix stop s’ajuste automatiquement en fonction du mouvement favorable du cours est idéal lorsqu’on veut rester exposé tant que le prix monte, mais couper la position dès qu’il recule d’un pourcentage ou d’un montant fixé. Supposons que vous avez acheté du SOL à 100$. Vous définissez un trailing‑stop de 5% : si le cours arrive à 130$, le stop passe à 123,5$ (5% en dessous). Si le prix retombe alors, l’ordre se déclenche, vous laissant profiter de la hausse tout en sécurisant la majeure partie du gain.
Ce type d’ordre est très utilisé sur les plateformes qui offrent des graphiques en temps réel, comme Binance ou Crypto.com.

5. OCO (One‑Cancels‑The‑Other) : double protection avec un seul clic
Un OCO ordre combinant deux ordres conditionnels où l’exécution de l’un annule automatiquement l’autre permet de placer simultanément un stop‑loss et un take‑profit. Si le prix monte et atteint le take‑profit, le stop‑loss est annulé; si le prix chute et déclenche le stop‑loss, le take‑profit disparaît. Cette mécanique est très pratique pour les traders qui ne veulent pas gérer deux ordres séparés.
Exemple : vous avez acheté du Litecoin à 150$, vous créez un OCO avec un stop‑loss à 130$ (stop‑market) et un take‑profit à 180$. Vous avez ainsi couvert le dessous et au‑dessus en une seule ligne d’ordre.
6. Post‑only : payer uniquement les frais de maker
Le Post‑only ordre qui ne s’exécute que si il ajoute de la liquidité au carnet, sinon il est annulé s’adresse aux market‑makers qui souhaitent éviter les frais de taker. L’ordre est accepté uniquement s’il reste sur le côté «bid» ou «ask» sans traverser le spread. Sur Binance et Crypto.com, vous pouvez cocher «post‑only» lorsqu’un ordre limite est créé.
Usage principal : traders institutionnels ou utilisateurs effectuant de gros volumes qui veulent garder les frais au minimum.
7. Iceberg : masquer le volume réel d'une grosse commande
L’Iceberg ordre qui ne montre au marché qu’une petite partie de la quantité totale, le reste étant caché jusqu’à épuisement évite de faire bouger le prix lorsqu’on veut acheter ou vendre un volume important. Par exemple, vous souhaitez vendre 100BTC, mais vous ne révélez que des lots de 1BTC à la fois. Le carnet ne voit que les petites fractions, limitant l’impact de la demande.
Les icebergs sont surtout disponibles sur les marchés dérivés à forte liquidité, comme les contrats à terme de Binance.
8. Time‑in‑Force (TIF) : contrôler la durée de vie d’un ordre
Les paramètres Time‑in‑Force définissent la période pendant laquelle un ordre reste actif avant d’être annulé offrent une granularité supplémentaire :
- GTC (Good Till Canceled) : l’ordre reste jusqu’à ce que vous le supprimiez.
- IOC (Immediate or Cancel) : l’ordre doit être exécuté immédiatement, la partie non remplie est annulée.
- FOK (Fill or Kill) : l’ordre doit être exécuté entièrement d’un coup, sinon il disparaît.
- Day : valable uniquement pendant la séance du jour calendaire de l’échange.
Choisir le bon TIF dépend de votre stratégie: un trader à haute fréquence utilisera souvent IOC ou FOK, tandis qu’un investisseur à long terme préfère GTC.
Comparatif rapide des ordres avancés
Ordre | Type d’exécution | Objectif principal | Risque de slippage | Échanges majeurs supportant |
---|---|---|---|---|
Stop‑limit | Conditionnel → limite | Contrôle du prix de sortie | Modéré - si le cours dépasse la limite | Binance, Crypto.com, Gemini |
Take‑profit | Market (déclenché à cible) | Capture du gain | Faible (exécution immédiate) | Binance, Crypto.com, Gemini |
Stop‑loss | Market ou limit | Limitation des pertes | Variable selon liquidité | Binance, Crypto.com, Gemini |
Trailing‑stop | Market dynamique | Protéger les profits émergents | Bas si paramètre réaliste | Binance, Crypto.com |
OCO | Deux ordres conditionnels | Double protection (stop + profit) | Faible (l’un annule l’autre) | Crypto.com, Binance (via API) |
Post‑only | Limiter à maker | Réduction des frais | Nul (pas d’exécution si crossing) | Binance, Crypto.com |
Iceberg | Volume caché | Minimiser l’impact du marché | Modéré (décomposition progressive) | Binance, Gemini |

Comment paramétrer ces ordres sur les plateformes majeures
Les interfaces varient, mais le principe reste le même: sélectionner le type d’ordre, définir les prix (stop, limite, prise de profit) et choisir le TIF. Voici un guide pas à pas pour Binance et Crypto.com.
- Connectez‑vous à votre compte et accédez au tableau de trading.
- Choisissez la paire (ex.BTC/USDT).
- Dans le menu déroulant des types d’ordre, sélectionnez «Stop‑Limit», «Take‑Profit», etc.
- Entrez le prix stop, le prix limite (le cas échéant) et la quantité.
- Définissez le Time‑in‑Force (GTC, IOC, etc.).
- Vérifiez les frais affichés: les ordres post‑only affichent généralement les frais maker.
- Confirmez l’ordre; l’interface montre souvent un aperçu de la balance réservée.
Sur Crypto.com, la différence principale est la case à cocher «OCO» qui ouvre automatiquement deux champs de prix (stop et profit). Pensez à tester d’abord avec de petites tailles pour vous familiariser avec le comportement de l’échange.
Bonnes pratiques et pièges à éviter
- Ne sous‑estimez pas la volatilité: un stop trop serré déclenchera souvent des fausses alertes. Analysez les bandes de Bollinger ou l’ATR pour choisir des niveaux réalistes.
- Gardez toujours un solde disponible: les ordres conditionnels réservent les fonds uniquement au moment du déclenchement. Si votre marge chute, l’ordre peut être annulé.
- Vérifiez le slippage potentiel: même un stop‑limit peut ne pas être exécuté si le marché dépasse la limite d’un seul trait. Sur des actifs à faible profondeur, privilégiez l’ordre market avec un stop‑loss large.
- Utilisez les OCO pour les stratégies de swing: ils réduisent le nombre d’ordres actifs et simplifient la gestion du portefeuille.
- Pour les gros volumes, pensez aux icebergs: cela évite de faire grimper le prix avant même d’avoir exécuté toute la position.
Scénario concret : trading d’un altcoin volatile
Imaginons que vous avez repéré un token qui a explosé de 10% en une heure et vous prévoyez une continuation légèrement modérée. Vous achetez 500tokens à 2,00$. Vous décidez de mettre en place une stratégie combinée:
- Stop‑loss à 1,80$ (10% de perte maximale).
- Trailing‑stop de 5% dès que le prix atteint 2,30$.
- Take‑profit à 2,60$ via un OCO qui annule le trailing‑stop si le take‑profit s’exécute.
- Vous choisissez un Time‑in‑Force GTC pour laisser les ordres actifs pendant plusieurs jours.
Cette configuration vous protège contre une chute brutale, vous permet de suivre la hausse tout en sécurisant les gains si le prix atteint votre objectif.
Vers l’avenir : l’intégration de l’IA et du trading décentralisé
Les plateformes commencent à proposer des paramètres d’optimisation automatique basés sur le machine learning: l’IA analyse les historiques de volatilité et suggère des niveaux de stop‑loss ou de trailing‑stop adaptés à chaque paire. Par ailleurs, les DEX comme Uniswap se dotent de services tiers qui offrent des ordres conditionnels via des contrats intelligents, ouvrant la porte aux mêmes stratégies avancées sans passer par un échange centralisé.
Ces avancées visent à rendre les ordres avancés plus accessibles aux traders particuliers, tout en maintenant la conformité réglementaire dans les juridictions où les exigences de transparence sont élevées.
Foire aux questions
Quelle différence entre un stop‑loss et un stop‑limit?
Un stop‑loss déclenche immédiatement un ordre de marché lorsqu’il est atteint, garantissant l’exécution mais pouvant subir du slippage. Un stop‑limit crée d’abord un ordre limite, vous gardez le contrôle du prix mais vous risquez qu’il ne s’exécute pas si le marché ne revient pas à votre niveau limite.
Comment fonctionne exactement un ordre OCO?
L’OCO combine deux ordres conditionnels (généralement un stop‑loss et un take‑profit). Dès que l’un d’eux est exécuté, le second est automatiquement annulé, évitant ainsi d’avoir deux positions ouvertes simultanément.
Quel type d’ordre est le plus adapté pour réduire les frais sur Binance?
L’ordre post‑only vous assure de rester du côté maker, ce qui vous fait payer les frais makers, généralement bien plus bas que les frais taker.
Quand est‑il judicieux d’utiliser un iceberg?
Lorsque vous devez acheter ou vendre un volume important sur un marché à faible profondeur. L’iceberg masque la taille réelle, limitant l’impact sur le prix.
Les ordres avancés fonctionnent-ils sur les DEX?
Oui, mais via des contrats intelligents ou des services tiers qui reproduisent la logique des stops et des OCO sur des protocoles comme Uniswap ou SushiSwap. La mise en place reste plus technique que sur un exchange centralisé.
Denis Kiyanov
août 4, 2025 AT 04:35Les ordres avancés, c’est la vraie magie du trading ! Grâce à eux, on peut dormir tranquille pendant que le marché s’enflamme.
Gerard S
août 4, 2025 AT 04:45Dans le ballet incessant des cryptomonnaies, chaque type d’ordre avancé agit comme un partenaire de danse, suivant le rythme imposé par la volatilité. Le stop‑limit, par exemple, impose une frontière où la grâce rencontre la rigueur. Un trader averti sait que la beauté réside dans la précision de la configuration. Ainsi, la philosophie du trading devient une quête d’équilibre entre la liberté et la contrainte. Enfin, il faut souvent méditer sur le pourquoi avant de choisir le quand.
BACHIR EL-KHOURY
août 4, 2025 AT 04:55Les ordres OCO c’est comme avoir deux gardes du corps qui s’observent mutuellement pour protéger ton capital
Ils te permettent de placer un stop‑loss et un take‑profit en même temps
Si le marché tourne à ta faveur le take‑profit se déclenche sinon le stop‑loss s’active
Utilise‑les dès que possible pour dormir l’esprit tranquille
Mathisse Vanhuyse
août 4, 2025 AT 05:05Imagine le sentiment de voir un iceberg s’activer au bon moment, comme un rideau qui se lève sur la scène d’un spectacle épique. Le poids du slippage disparait alors, laissant place à la certitude d’une exécution maîtrisée. C’est exactement ce que promet le trailing stop, un compagnon discret mais puissant.
Jean-Léonce DUPONT
août 4, 2025 AT 05:15Stop‑loss limite le risque, take‑profit capture le gain.
Andy Baldauf
août 4, 2025 AT 05:25Les ordres post‑only, c’est un peu comme la politesse à la bourse : tu ne prends que ta place sans pousser les autres. C’est super utile sur les marchés où le slippage peut coûter cher, surtout sur Binance ou Kraken. Fait attention aux tiny bugs, parfois le système se trompe et n’accepte pas l’ordre. Mais en général c’est un bon moyen de garder tes frais à un niveau minimal.
James Schubbe
août 4, 2025 AT 05:35Les ordres avancés sont juste un piège de la finance globale 🤨 ils nous font croire qu’on contrôle tout mais c’est un leurre minimaliste.
Filide Fan
août 4, 2025 AT 05:45Utiliser le stop‑limit, c’est offrir à son portefeuille une protection supplémentaire, surtout dans les phases de forte volatilité, ; cela permet de déclencher une vente dès que le prix atteint un niveau prédéfini, ; ainsi, le trader évite les pertes soudaines, ; tout en conservant la possibilité de profiter d’un rebound ultérieur, ; c’est un outil incontournable pour gérer le risque de façon proactive.
Nadine Jansen
août 4, 2025 AT 05:55Le OCO combine stop‑loss et take‑profit en une seule instruction, ce qui simplifie la gestion du trade et réduit le risque d’erreur humaine.
Julie Collins
août 4, 2025 AT 06:05Hey, t’as déjà testé le trailing stop‑limit ? C’est comme un chat qui suit ton doigt, il s’ajuste automatiquement selon la hausse du prix, tout en te protégeant si le marché se retourne.
Anne-Laure Pezzoli
août 4, 2025 AT 06:15Personnellement, je trouve que l’iceberg est parfait pour les gros volumes, il dissipe la pression du market impact.
Denis Enrico
août 4, 2025 AT 06:25Il faut se méfier des ordres trop sophistiqués : ils peuvent masquer une mauvaise stratégie et donner l’illusion d’un contrôle absolu, ce qui n’est qu’une façade.
kalidou sow
août 4, 2025 AT 06:35Les plateformes occidentales ne comprennent pas la vraie puissance des ordres avancés, c’est pourquoi les traders éclairés passent aux exchanges moins régulés.
Juliette Kay
août 4, 2025 AT 06:45Il n’est point judicieux d’ignorer la rigueur méthodologique inhérente aux ordres OCO et aux stratégies de couverture, surtout dans un environnement où la volatilité se montre capricieuse.
Neil Deschamps
août 4, 2025 AT 06:55Lorsqu’on aborde le sujet des ordres avancés, il convient d’abord de définir clairement ce que l’on entend par « avance ». Un ordre avancé ne se limite pas à une simple instruction de marché ou de limite ; il s’agit d’un instrument capable d’interpréter plusieurs conditions simultanément. Par exemple, le type OCO (One‑Cancels‑the‑Other) permet de placer deux ordres distincts, dont l’exécution d’un entraîne automatiquement l’annulation de l’autre. Cela est particulièrement utile pour les traders qui souhaitent gérer simultanément le risque et le profit potentiel. Le stop‑limit, quant à lui, ajoute une couche de sécurité supplémentaire en ne déclenchant l’ordre que si le prix atteint une certaine limite après le déclencheur. Cette double condition réduit le risque de slippage dans des marchés très volatils. Le trailing stop, de son côté, ajuste dynamiquement le niveau de stop‑loss en fonction du mouvement du prix, offrant ainsi une protection ascendante tout en laissant de la marge de manœuvre pour les gains futurs. Certains exchanges proposent également l’iceberg, qui divise un gros ordre en petites portions afin de masquer l’intention réelle du trader et de diminuer l’impact sur le carnet d’ordres. Le post‑only, enfin, garantit que votre ordre ne sera exécuté que s’il ajoute de la liquidité, évitant ainsi les frais de prise de risque. En combinant ces différents types, un trader expérimenté peut créer des stratégies quasi‑automatiques, capables de réagir à la fois aux variations de prix et aux évolutions du volume. Néanmoins, il est crucial de bien comprendre les frais associés à chaque type d’ordre, car ceux‑ci peuvent varier d’une plateforme à l’autre. Par ailleurs, chaque exchange possède ses propres paramètres de configuration, ce qui nécessite une adaptation fine du paramétrage. Enfin, la maîtrise de ces outils permet de réduire considérablement le temps passé devant les écrans, tout en conservant un contrôle rigoureux du portefeuille. Ainsi, les ordres avancés constituent une composante essentielle d’une approche de trading moderne, alliant efficacité, sécurité et souplesse.
Jean-Philippe Ruette
août 4, 2025 AT 07:05En réfléchissant à cette synthèse, on réalise que chaque ordre avancé ressemble à une petite philosophie de vie : il impose des limites pour protéger, il suit le flux pour s’adapter, et il structure le chaos pour le rendre intelligible. Ainsi, le trader devient non seulement un acteur du marché, mais aussi un gardien de son propre équilibre émotionnel.
valerie vasquez
août 4, 2025 AT 07:15Je tiens à souligner l’importance de la rigueur méthodologique dans la configuration des ordres OCO et trailing stop, comme le mentionnait précédemment l’analyse philosophique. Une mise en place précise garantit la conformité aux objectifs de gestion du risque et optimise la performance globale du portefeuille.